Coronavirus / L’heure des vrais adorateurs: 2- Le bain de miséricorde

(Abbé Samson TAKPE)

 

Dans le premier enseignement de cette série, nous avions vu comment les vrais adorateurs sont façonnés dans l’exercice de la présence de Dieu. Ils adorent Dieu en esprit, c’est-à-dire que leur culte est intérieur, il provient du cœur (sans nécessairement exclure des formes extérieures d’expression) ; ils adorent Dieu en vérité, parce qu’ils se livrent entièrement à Lui dans la vérité de leur être et leur vie en est transfigurée ; il n’y a plus de contradiction entre leur vie extérieure et leur culte intérieur, tout est unifié par la présence de Dieu.

Et nous avions indiqué trois moyens pour nous exercer à la présence de Dieu. Le premier consiste, comme l’indique Saint François de Sales dans son ouvrage « Introduction à la vie dévote », à se servir de l’imagination pour considérer notre Sauveur Jésus Christ en son humanité sacrée comme s’IL était auprès de nous. Le deuxième moyen consiste à se servir de la simple foi qui nous enseigne que Dieu est partout présent, selon ces mots du psalmiste : « Où donc aller, loin de ton souffle ? Où m’enfuir, loin de ta face ? Je gravis les cieux : tu es là ; je descends chez les morts : te voici. Je prends les ailes de l’aurore et me pose au-delà des mers : même là, ta main me conduit, ta main droite me saisit. » (Psaume 139/138, 7-10). Le troisième moyen consiste à contempler Dieu en nous, en notre âme où la Bienheureuse Trinité est plus intime à nous que nous-mêmes. C’est sur cette vérité que Sainte Elisabeth de la Trinité a bâti sa doctrine spirituelle. Et pour finir, nous avions noté la nécessité d’actualiser la présence à Dieu par de constants « retours à Dieu ».

Dans le premier exposé, nous abordons le deuxième exercice de « l’adoration en esprit et en vérité » qui prend appui sur le premier, de la même manière que le troisième exercice prendra appui sur les deux premiers. Il s’agit ici du bain de miséricorde. L’exposé s’articulera autour de 3 points : 1. Nécessité du bain de miséricorde 2. Les diverses formes du bain de miséricorde 3. Les fruits du bain de miséricorde.

 

Première partie : Nécessité du bain de miséricorde

Avec le Concile Vatican II, l’Eglise est entrée dans une meilleure compréhension du Sacrement de la Réconciliation qui nous a fait passer de la confession annuelle à la confession fréquente. Ainsi, on ne demande plus de se confesser une fois par an mais une fois par mois, voire toutes les deux semaines. Mais la question est celle-ci : se confesser tous les mois ou même toutes les deux semaines suffit-il pour faire de nous des adorateurs en esprit et en vérité ? Cet exposé veut montrer qu’il est fort utile pour notre avancement spirituel de ne pas nous limiter aux confessions sacramentelles, mais de profiter au maximum de la Miséricorde de Dieu toujours disponible, grâce à des plongeons intempestifs dans l’océan de sa Miséricorde. Ce plongeon extra-sacramentel que nous désignons ici par le terme « bain de miséricorde », ressemble, dans sa forme longue, à ce que l’on appelle communément « examen de conscience », mais s’en écarte tant soit peu dans sa forme courte. Le changement de dénomination est dû au fait que l’expression « examen de conscience » semble mettre plus en avant l’activité cérébrale du pécheur, tandis que l’expression « bain de miséricorde » met davantage l’accent sur la Miséricorde de Dieu se donnant gratuitement et à profusion à quiconque la désire. L’âme est donc ici appelée à se plonger tout simplement dans l’océan infini de la Miséricorde divine.

Pour comprendre la nécessité de ce bain de miséricorde, nous allons nous servir de trois exemples. 1. Notre âme est souvent comparée à un vêtement blanc, en témoigne le linge blanc qui nous est donné au baptême. Lorsqu’un linge blanc reçoit une tache, le mieux, si l’on veut qu’il retrouve sa blancheur originelle, est de le plonger aussitôt dans l’eau. Plus on attend, moins il a de chance de retrouver son éclat premier. Il en est de même de l’âme qui tombe dans le péché. Si elle veut retrouver sa blancheur originelle, elle doit se plonger aussitôt dans l’océan de la Miséricorde divine. 2. Notre âme est aussi comparée à une maison (la Maison de Dieu (1 Co 3,16) ou le Temple du Saint-Esprit (1 Co 6,19). Lorsqu’une maison se salit et que l’on veut qu’elle retrouve son état premier, le mieux est de la serpiller aussitôt ou de la laver à l’eau. Plus on tarde à la nettoyer, plus les déchets s’y accumulent et y adhèrent. Il en est de même de notre âme qui est la Maison de Dieu. Lorsqu’elle est salie par le péché et que l’on tarde à y passer la serpillère de la Miséricorde divine ou à y répandre l’eau de la Grâce, elle court le risque de ne plus retrouver sa beauté première. 3. Notre âme est enfin comparée à une terre qui accueille la semence du Royaume et est chargée de la faire fructifier (cf. Mt 13). Lorsque des herbes sauvages poussent sur une terre et qu’on tarde à les arracher, elles finissent par appauvrir le sol et étouffer la semence. Il en est de même de l’âme en qui ont poussé les herbes de la convoitise et des péchés de toutes sortes, plus l’âme tarde à les arracher, moins elle a la force de le faire, car ces mauvaises herbes prennent vite racine et privent l’âme de sa force. Ces comparaisons ne veulent pas dire que la Miséricorde de Dieu obtenue dans le Sacrement de la Réconciliation ou en dehors d’elle après un long temps de péché n’efface pas entièrement les fautes et ne relève pas l’âme de sa faiblesse pour la rendre plus forte contre le mal, non ! Ces comparaisons veulent tout simplement dire, comme l’explique Saint Jean de la Croix dans son livre « La Montée du Carmel », que l’habitus des péchés et des imperfections oppose une « résistance à l’Esprit de Dieu », attiédit et refroidit l’âme, l’aveugle en obscurcissant son jugement, lui ôte sa joie, l’appesantit, l’engourdit et ralentit sa marche sur le chemin du Royaume.[1]

C’est pourquoi les bains de miséricorde visent non seulement à nous purifier, mais encore, comme le dit Saint Bernard, à retrancher les pernicieux germes de nos péchés et de nos défauts, pour que dans le jardin de notre âme croissent les fleurs de toutes les vertus. Car par l’effet de la corruption de la nature humaine, les mêmes défauts poussent toujours de nouvelles racines dans notre cœur, nos passions se rallument avec insistance, à telle enseigne qu’il est difficile de porter du fruit en abondance si l’on se contente des confessions sacramentelles mensuelles. Chaque jour, en effet, les vices retranchés réapparaissent, les mauvaises herbes repoussent, ce qui semblait éteint se rallume, ce qui semblait privé de toute sève pousse encore des rejetons, au point que si nous ne voulons pas fermer les yeux, nous trouverons toujours dans notre jardin intérieur à retrancher et à tailler.[2]

Saint Ignace de Loyola, non content de s’examiner deux fois par jour, conformément à ce qui avait été réglé par les anciens Pères, ne laissait pas s’écouler une heure de la journée sans se recueillir en lui-même et sans se livrer à l’examen de ce qu’il avait dit, pensé et fait durant ce court intervalle, s’excitant au repentir de ses plus minimes imperfections, que le regard si pur de son âme lui avait découvertes, et formant dans son cœur de nouvelles résolutions pour passer plus saintement l’heure qui commençait. Ce grand saint ne pouvait comprendre comment il est possible d’aspirer à la perfection, sans être assidu à veiller sur son cœur avec persévérance, sans porter une attention continuelle sur tous ses mouvements. L’auteur de sa vie dit qu’après avoir bien étudié toute la conduite de Saint Ignace, il n’a qu’une seule chose à déclarer et qui en est tout le résumé ; c’est que toute son existence n’a été qu’un examen de conscience ininterrompu. A ce sujet, on rapporte un fait étonnant. Ayant rencontré un des Pères de son couvent, Ignace lui demanda familièrement combien de fois il s’était examiné pendant ce jour jusqu’à l’heure où il lui parlait. – Sept fois, lui répondit ce Père. – C’est bien peu, répliqua saint Ignace tout étonné. Or, en cet instant-là, la nuit n’était pas encore venue.[3] Saint François de Borgia aussi observait la même coutume de s’examiner à chaque heure. Et nous, ne serions-nous pas capables de le faire une ou deux fois par jour ? Selon saint Grégoire de Nazianze, celui qui ne fait pas chaque jour son examen de conscience n’aspire pas à la sainteté. Bref, les Saints ayant si fortement recommandé ce bain fréquent de miséricorde, et l’ayant eux-mêmes pratiqué avec une si grande assiduité, cet exercice est un moyen dont on ne saurait se priver quand on aspire à être un adorateur en esprit et en vérité. Mais, comment procéder ?

 

2. Les diverses formes du bain de miséricorde

Avant d’aborder concrètement les formes et les méthodes du bain de miséricorde, il faut noter que ce salutaire exercice doit être pratiqué, non pas d’une manière superficielle, mais avec une attention sérieuse, et avec un esprit intérieur de repentir. Souvent, nous péchons par sous-estimation de la gravité de nos manquements. Jésus disait à Sainte Faustine : « Si je te découvrais toute ta misère, tu mourrais de peur ! »[4]. Dans le même sens, le témoignage suivant nous instruit. Un religieux très exemplaire apparut après sa mort à un de ses amis, religieux comme lui. Il se montra à ses yeux en habits de deuil, le visage assombri d’une sombre et mélancolique tristesse. Ce dernier questionna son ami défunt sur ce qui le rendait si triste. Le défunt lui fit cette réponse : personne ne le croit, personne ne le croit, personne ne le croit ! – Et quelle est donc cette chose que personne ne croit, répliqua l’ami. Le défunt répondit : Ce que personne ne veut croire, c’est la rigueur avec laquelle le Dieu trois fois Saint porte ses jugements ! Après ces paroles, le défunt disparut.[5] Avec ce témoignage on comprend la terreur d’une sainte Marie-Madeleine de Pazzi devant le péché qu’elle a commis de n’avoir pas donné son cœur à Dieu dès le premier instant de son réveil, tandis que sa première pensée avait été d’éveiller promptement les religieuses, pour qu’elles fussent prêtes à se rendre à l’office, parce qu’elle croyait que l’heure était passée.[6] On comprend aussi la sévérité avec laquelle la bienheureuse Anne Catherine Emmerich, après sa vision des circonstances de la trahison de Judas (« Quant à Judas, ayant pris la bouchée, il sortit immédiatement : il faisait nuit. » Jean 13, 30), condamne le fait de ne pas rendre grâces après les repas et après la communion (« Il ne revint pas à sa place, mais sortit aussitôt du cénacle… Il se retira sans prier et sans rendre grâces, et vous pouvez voir par-là combien l’on a tort de se retirer sans actions de grâces après le pain quotidien et après le pain éternel. […] Après la réception sacrilège du Sacrement, Satan s’empara tout à fait de lui »[7]) ; tant est lourd le poids de nos péchés lorsque Dieu Lui-même se charge d’en faire l’examen et de nous les mettre devant les yeux sous leur véritable point de vue ! Notre négligence dans l’examen de conscience ne peut donc provenir que de notre ignorance de la Sainteté de Dieu et des exigences de sa Justice.

Ceci dit, abordons les diverses formes du bain de miséricorde. Il y a généralement trois manières de se baigner : 1. Partiellement par des ablutions ou en se lavant la figure. 2. Entièrement en versant l’eau sur tout le corps. 3. Intégralement et en profondeur en utilisant le savon et l’éponge. L’ablution de miséricorde se fait par un repentir sincère accompagné des mots « Kyrie eleison » ou « Seigneur, prends pitié » ou encore « O Jésus, miséricorde ! ». Et cette ablution, qui peut se faire en 3 secondes, doit être effectuée chaque fois qu’on se rend compte que notre pensée, notre parole ou notre action a été indigne de Dieu, ou que nous avons omis de faire quelque chose que nous devions faire. On demanda un jour au Père rédemptoriste ascétique Achille Desurmont de sainte mémoire : « Quelle est votre oraison dans vos peines ? ». Il répondit : « C’est l’oraison du Kyrie eleison » ![8] Le bain entier de miséricorde, quant à lui, se fait par un examen général de nos manquements accompagné d’un repentir sincère et suivi de l’acte de contrition. Ce bain entier, pour lequel 5 à 10 minutes suffisent, peut être fait à la pause de la mi-journée où l’on évalue rapidement la première partie du jour. Enfin, le bain en profondeur, qui nécessite 15 à 30 minutes, est un examen plus approfondi où nous relisons toute notre journée sous le regard de Dieu et à la lumière de son Esprit.

Giovanni Battista Scaramelli explique : Dans le petit monde que nous portons au-dedans de nous, c’est la raison qui est la modératrice de tout ce qui s’y fait ; les cinq sens en sont les gérants et les serviteurs qui doivent obéir à tout ce qu’elle ordonne. La raison doit donc chaque jour appeler à la reddition de comptes les facultés qui sont chargées de diverses opérations. Elle doit demander compte de ses pensées à l’intelligence et voir si ces mêmes pensées ont été vaines, orgueilleuses, rancunières, malhonnêtes, étrangères à la charité fraternelle ; si enfin elle s’y est arrêtée volontairement ou avec trop peu de diligence à les éloigner. La raison doit interroger ensuite la volonté et lui demander compte de ses affections, s’informer si ces dernières ont été coupables ou imparfaites, et si elle ne leur aurait pas donné son assentiment. Elle appelle aussi à cette reddition de comptes tous les sens. Elle demande aux yeux quels ont été leurs regards, si la vaine curiosité, l’immodestie ou le libertinage ne les ont pas souillés. La langue est interrogée à son tour pour savoir si les paroles qu’elle a proférées n’auraient pas été offensantes, empreintes de colère et contraires à l’esprit de charité. Les oreilles, les mains ainsi que les autres facultés sont aussi questionnées. Ensuite par le moyen d’un repentir sincère, on s’occupera de corriger tout ce qu’on a trouvé de désordonné et de contraire à la piété, et de remettre tout en ordre avec un propos bien déterminé et constant de s’amender. La raison se faisant ainsi rendre compte tous les jours de toutes nos actions, saura imprimer à toutes choses une rectitude telle que chacun pourra marcher sans obstacle et avec promptitude en « vrai adorateur » sur le chemin du Royaume des cieux.[9]

Le bain en profondeur comporte 3 étapes :

1. On se met en présence de Dieu par un acte de foi et d’adoration profonde (tel que décrit dans l’enseignement numéro 1 de cette série) et on demande la lumière de Dieu pour un bon examen de la journée.

2. On procède à un examen approfondi de la journée. Au fur et à mesure, on rend grâces à Dieu pour tous les bienfaits reçus et pour le bien que l’on a pu faire (parce que cela aussi est un don de sa grâce). On s’examine à fond : pensées, paroles, actions, omissions, légèretés, etc. et au fur et à mesure de l’examen, on fait un acte de contrition sincère. La douleur des péchés doit être intime, accompagnée d’une confusion intérieure et d’une profonde humilité. Une juste idée de la gravité de nos péchés peut parfois pousser à couler des larmes. Dans ce cas, il ne faut pas les retenir, mais les laisser couler sans verser dans le désespoir. Et on prend la résolution de ne plus commettre ces péchés ni offenser Dieu de quelque manière que ce soit.

3. A la fin, on rend grâce pour le pardon reçu. On peut conclure cette action de grâce par une prière vocale comme le Notre Père, l’Ave Maria ou une autre prière personnelle dans laquelle on demandera au Seigneur la grâce de rester fidèle aux promesses qu’on vient de faire, car sans son aide nous ne pouvons absolument rien.

Nota bene : Lorsqu’on se découvre dans l’examen un manquement grave, les Saints et les Maîtres spirituels conseillent de s’imposer une pénitence à la mesure de ses forces.[10] De cette manière, on porte plus de fruits.

 

Troisième partie : Les fruits du bain de miséricorde

Conformément à l’enseignement de l’Eglise, lorsque le regret éprouvé devant le péché est un acte de contrition parfaite, c’est-à-dire que l’on regrette sincèrement d’avoir offensé Dieu parce qu’il est infiniment aimable et que l’on se résout à ne plus l’offenser à l’avenir, les péchés sont pardonnés même avant la réception du sacrement de la Réconciliation.[11] Quelle bonne nouvelle en ce temps où les circonstances ne favorisent pas la réception de ce sacrement ! Et surtout quelle bonne nouvelle pour tous ceux et celles qui n’ont pas accès à ce sacrement, de savoir qu’ils peuvent à tout moment être pardonnés ! Ceci dit, en cas de péché mortel, il faut, dès que les circonstances le permettent, se rapprocher du sacrement.

En plus du pardon des péchés, les bains de miséricorde nous aident à acquérir la connaissance de soi, la pauvreté de cœur, l’humilité spirituelle, l’estime du prochain, la douceur envers Dieu et envers le prochain, la liberté d’esprit, l’esprit d’obéissance, la crainte de Dieu et la pureté de cœur qui nous disposent à un parfait amour de Dieu. Saint Augustin soutient que pour orner le cœur de pureté, il n’existe pas de moyen plus efficace que celui de le purifier par un examen fréquent, d’y faire revivre l’innocence par un vif repentir de nos fautes, de le prémunir par un bon propos contre de nouvelles tentations, et de ne pas laisser passer un seul jour sans se livrer à cette culture spirituelle. C’est par un tel moyen que le Roi du ciel descendra dans l’âme ainsi disposée, comme dans un jardin délicieux, pour l’inonder de ses voluptés divines.[12] Les bains de miséricorde font croître notre confiance en la Miséricorde de Dieu et nous procurent la paix intérieure.

Si dans l’exercice de la présence de Dieu, telle que décrit dans notre premier enseignement, c’est la vertu théologale de foi qui s’accroit, ici c’est surtout l’espérance qui grandit, parce que plus l’âme est libre et dépouillée, plus elle espère. Il reste maintenant que notre amour s’enflamme pour Celui qui nous a tant aimés. C’est ce qui fera l’objet du troisième exposé.

 

Bibliographie

Anne Catherine Emmerich, La douloureuse Passion De Notre Seigneur Jésus-Christ, Wroclaw 2018.

Catéchisme de l’Eglise Catholique, Paris 1998.

Elisabeth de la Trinité, Œuvres Complètes, Paris 1980.

François de Sales, Introduction à la vie dévote.

Giovanni Battista Scaramelli, Guide ascétique : ou, Conduite de l’âme par les voies ordinaires de la grâce à la perfection chrétienne », Paris 1882.

Jean de la Croix, Œuvres Complètes, Paris 2010.

Sœur M. Faustine Kowalska, Petit Journal, Paris 2010.

Vital Lehodey, Les voies de l’oraison mentale, Paris 1923.

 

 


[1] Cf. Jean de la Croix, La Montée du Carmel, Livre I, ch. 6-12.

[2] Cf. Giovanni Battista Scaramelli, Guide ascétique : ou, Conduite de l’âme par les voies ordinaires de la grâce à la perfection chrétienne », n° 359.

[3] Cf. Giovanni Battista Scaramelli, Guide ascétique : ou, Conduite de l’âme par les voies ordinaires de la grâce à la perfection chrétienne, n° 358.

[4] Sœur M. Faustine Kowalska, Petit Journal, Paris 2010, n° 717.

[5] Cf. Giovanni Battista Scaramelli, Guide ascétique : ou, Conduite de l’âme par les voies ordinaires de la grâce à la perfection chrétienne », n° 366.

[6] Cf. Giovanni Battista Scaramelli, Guide ascétique : ou, Conduite de l’âme par les voies ordinaires de la grâce à la perfection chrétienne », n° 367.

[7] Anne Catherine Emmerich, La douloureuse Passion De Notre Seigneur Jésus-Christ, p. 33, 71ss. 

[8] Vital Lehodey, Les voies de l’oraison mentale, Paris 1923, p. 88.

[9] Cf. Giovanni Battista Scaramelli, Guide ascétique : ou, Conduite de l’âme par les voies ordinaires de la grâce à la perfection chrétienne, n° 356.

[10] Cf. Giovanni Battista Scaramelli, Guide ascétique : ou, Conduite de l’âme par les voies ordinaires de la grâce à la perfection chrétienne », n° 372.

[11] Plus exactement le CEC dit ceci : « Parmi les actes du pénitent, la contrition vient en premier lieu. Elle est "une douleur de l’âme et une détestation du péché commis avec la résolution de ne plus pécher à l’avenir". Quand elle provient de l’amour de Dieu aimé plus que tout, la contrition est appelée « parfaite » (contrition de charité). Une telle contrition remet les fautes vénielles ; elle obtient aussi le pardon des péchés mortels, si elle comporte la ferme résolution de recourir dès que possible à la confession sacramentelle. » (CEC 1451-1452).

[12] Cf. Giovanni Battista Scaramelli, Guide ascétique : ou, Conduite de l’âme par les voies ordinaires de la grâce à la perfection chrétienne », n° 363.

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